lundi 25 janvier 2010

couture et déconfiture




c'était mon programme du weekend. Couture, pour le bébé.. ça commence à me démanger.. d'ailleurs la liste du trousseau idéal s'allonge à vue d'œil... il va me falloir un congé pathologique pour en venir à bout! ;-)
Comme nous ne connaissons pas encore le sexe je commence blanc, mixte, indémodable et confortable... de toute façon j'aime les nouveaux nés en blanc... J'ai ressorti ce pyjama que j'avais tant aimé sur jules et je lui ai ajouté ce gilet en coton, surpiqué pour lui ajouter un peu d'âme.




Déconfiture, ça c'est ma germaine, qui continue à me torturer. En m'apportant des livres de la bibliothèque mon mari m'a dit "quand même tu pourrais faire aussi bien, tu sais." C'est idiot, mais de le sentir un peu déçu et de le voir croire ainsi en moi et en mes écrits, ça m'a décidée à reprendre la tablette et à essayer de présenter ça comme il faut pour -enfin- proposer mon travail à droite à gauche... mais c'est dur, c'est dur... c'est physiquement dur tellement j'ai peur.

7 commentaires:

  1. j'aime bien ce petit gilet, avec ses surpiqures... moi aussi j'ai "ma germaine" (dans un autre genre!) qui me torture pas mal aussi et les yeux(et le coeur) que je sens aussi un peu déçu(s) chez M.Bohème...

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  2. Trop craquounet le petit gilet blanc!
    Et sinon, y a pas que ton homme qui croit en toi, moi aussi!!! ;o)
    Je sais que c'est dur de présenter son travail aux autres, de taper aux portes, de les voir rester fermées ou se fermer... Alors ne fais pas comme moi, ne baisse pas les bras, ok ;o).
    Bises.

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  3. ahh la mac est repartie!! Ca c'est une bonne nouvelle! et si j'en crois le dessin en haut de la page, Germaine a retrouvé des couleurs, la pluie n'est pas prête de la délaver ;)

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  4. Oh oui ça fait peur, mais fais-le, j'ai tellement envie de lire tes livres !!!

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  5. Arghhh, tu parles d'une déconfiture ! Je viens de te laisser un comm' long et transcendant... et je viens de tout effacer ! naaaaaan !

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  6. Je disais en substance...
    ...
    Oui, mais on est là, "nous". Quel que soit ce que pourrait te dire une maison d'édition, forcément "normativante" j'imagine, tout est possible. Tout est à inventer, y compris ton format d'édition.
    Bien sûr que non, il ne s'agit pas de faire tout, n'importe quoi et son frère. Bien sûr que non, il ne s'agit pas de fermer ses oreilles hautaines et susceptibles à toute remarque. Il s'agit d'entendre, et de trier, sans se démonter.
    Nous sommes quelques-unes, pas mal même, lectrices averties-et-avérées à nous être arrêtées sur tont trait. Cette confiance que tu n'as pas, que tu ne peux pas avoir je crois - pas tout de suite, laisse nous l'avoir pour toi. Ça n'ôtera pas les doutes, et c'est bien ainsi, mais ça peut permettre d'aller au bout de l'essai, qui sera transformé je le sais. Et tant pis si je parais prétentieuse ou bien sûre de moi : je suis pleine d'une assurance complètement assumée sur le sujet. Ça ne m'arrive pas souvent, mais là je me sens absolument légitime.

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  7. allez zou!!! vas y j'attends devant la porte de ma libraire ...
    (psiiit : je t'ai taggée hier, si le coeur t'en dit et que germaine et la machine à coudre t'en laissent le temps !)

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